Analyse des cornes Céret de Toros 2017

Comme chaque année, l’ADAC publie les résultats des analyses de cornes effectuées à l’école vétérinaire de Toulouse, le samedi 5 novembre 2017 par les vétérinaires taurins, en présence de deux de leurs confrères espagnols mandatés par l’Union de Criadores de Toros de Lidia.

Rapport officiel de la mission d’expertise

Castellano – Analísis de cuernos 2017 comentados por la ADAC

Pour vous permettre de bien comprendre la méthode utilisée et d’analyser les résultats repris sur le tableau joint, nous vous rappelons quelques points importants.

• Les vétérinaires saisissent dans les arènes de première catégorie des villes qui adhèrent à l’Union des Villes Taurines Françaises deux paires de cornes à chaque corrida. Ils avisent avant le spectacle le représentant de l’élevage concerné qui a droit à deux «passe-droits » en déclarant que les cornes des toros considérés ont été arrangées à la suite d’un accident. Ils produisent alors un certificat «d’arreglado». Si tel est le cas les vétérinaires analysent alors un ou deux autres toros de la corrida.

• Céret, considérée comme arène de deuxième catégorie est dispensée de ces analyses. Cependant l’ADAC par souci de transparence souhaite depuis de nombreuses années que ce contrôle soit réalisé pour chacun des spectacles qu’elle organise. Les résultats sont systématiquement rendus publics. En 2017, la présentation des toros de Miura ayant soulevé, une fois en piste, l’indignation du public, l’ADAC a immédiatement demandé aux vétérinaires taurins de saisir l’intégralité du lot. C’est donc l’analyse des cornes des 6 toros qui figure sur le tableau qui suit.

• Il faut préciser que l’ADAC refuse toujours l’octroi des deux « passe-droits ». Les vétérinaires peuvent donc choisir librement les toros qu’ils estiment devoir être analysés. Il est donc important de préciser que ce souci de transparence n’avantage aucunement nos élevages. En refusant les certificats « d’arreglado », l’ADAC se montre plus exigeante que les autres arènes.

• La méthode d’analyse mise au point par Thierry Dhenin, vétérinaire, membre de l’Association Française des Vétérinaires Taurins, s’effectue en deux temps :

1- Aux arènes :
– Mesure post-mortem de la longueur des courbures externes (grande courbure) et internes (petite courbure) de la corne. Ces mesures permettent de déterminer une longueur moyenne de la corne (se reporter au schéma ci-après).
– Pose de scellés sur chaque corne saisie.

2- Au laboratoire :
– La corne est coupée en deux dans le sens longitudinal. Apparaissent alors sa partie vivante, l’os, entouré de la membrane kératogène, et celle constituée de kératine : la partie dure de la corne appelée « piton ». Reste alors à mesurer la distance entre le bout de l’os et le bout du « piton ». Si ce résultat est supérieur au 1/7ème de la longueur moyenne mesurée aux arènes, alors le toro est déclaré conforme. Une exploration visuelle de la surface externe de la corne est aussi faite pour détecter d’éventuelles traces ou irrégularités non masquées lors d’une supposée manipulation.

 

 

 

RESULTATS NUMERIQUES DES ANALYSES DE CORNES CERET DE TOROS 2017

 

COMMENTAIRES DE L’ADAC

NOVILLOS DE RASO DE PORTILLO :
Le novillo N° 21 présente un manque de substance aux deux cornes et le n° 37 à la corne droite uniquement. Nous sommes surpris de ces résultats alors que cette novillada n’a présenté à aucun moment de défaut visible. Les conclusions des vétérinaires vont dans ce sens en expliquant que « les novillos sont des animaux en pleine croissance où la structure cornée doit augmenter en longueur et en épaisseur » et « pour ces raisons » ils ne peuvent « établir de diagnostic précis. »

TOROS DE MIURA :
Les résultats montrent que les N° 19, 12 et 2 ont été « touchés » aux deux cornes, les N° 51 et 60 n’auraient été « touchés » que sur une corne, le seul toro « limpio de pitones » étant le 57. L’ADAC se faisait une joie d’inscrire le nom mythique de MIURA au cartel de ses trente ans et regrette d’avoir naïvement fait confiance à cet élevage. Aveuglés par le symbole que représentait MIURA à nos yeux, nous avons certainement refusé de voir l’évidence. Après qu’ils ont tapé dans les chiqueros et sur les burladeros l’état réel de leurs cornes a été révélé aux yeux de tous. Nous nous en excusons auprès de notre public qui en a été la principale victime. Les résultats de ces analyses qui évoquent « une succession de traumatismes vraisemblablement d’origine naturelle, corrigés par des « arreglados répétés ou non » seront transmis aux médias taurins ainsi qu’à l’UVTF afin qu’elle décide des mesures qui s’imposent.

TOROS DE SALTILLO :
Le toro N° 11 dont la corne droite est légèrement inférieure à la valeur limite est un de ceux qui a « rématé » et enfoncé sa corne dans le burladero en bois. L’extrémité de cette dernière s’est cassée à ce moment-là. Le manque de substance est donc dû à un accident en piste auquel tout le monde a pu assister. La corrida de Saltillo fait partie des corridas les mieux présentées proposées par l’ADAC depuis sa création et nous n’avons aucun doute sur l’intégrité de son propriétaire que nous remercions de l’extraordinaire lot qu’il nous a proposé.

TOROS DE ESCOLAR GIL :
Comme toujours depuis que nous effectuons des analyses, les cornes des toros d’Escolar Gil présentent des mesures nettement au-delà du minimum demandé et sont parfaitement conformes.

 

Moltes gràcies…

Voilà, la 30ème édition de Ceret de Toros s’est achevée. Nous regrettons que le moment soit passé si vite. Une année de travail, de discussions, de votes, de choix à prendre, et l’organisation de ces 3 jours… Cette année, comme les autres années, il y a eu des bons moments, et des moins bons. Mais c’est toujours avec la même ferveur que nous les partageons avec vous. Nous analysons les courses en détails et nous nous mettons dès à présent au travail pour préparer l’avenir. L’ADAC continuera à défendre le toro de combat, c’est notre ADN.

Nous vous donnons rendez-vous l’année prochaine et un grand merci à tous les aficionados qui croient en notre combat.

¡ Va por ustedes !

Dernière ligne droite

Plus que quelques jours avant l’ouverture de la 30ème édition de Céret de toros. La dernière semaine c’est l’effervescence, les derniers préparatifs, les dernières touches de peintures, mais surtout la concrétisation d’une année de travail avec l’arrivée des toros dans l’enceinte des arènes.

Tous les membres de l’ADAC vivent au rythme des débarquements, les élevages arrivent les uns après les autres. Nous vous invitons à découvrir les dernières photos des embarquements au campo jusqu’aux débarquements au sein des arènes de Céret. Vous pouvez vivre tout cela depuis la page Campo de notre site ou sur les réseaux sociaux via Facebook et Instagram.

Ya falta menos …

Livre « Ceret de toros 30 anys »

Un livre qui se doit de figurer dans toute bonne bibliothèque d’aficionado.

Voici un peu plus de détails sur le contenu de cet ouvrage…

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Soirée de présentation – Samedi 6 Mai 2017

350 aficionados réunis pour la présentation de Céret de Toros

Il y avait foule samedi soir, à la salle de l’Union pour découvrir les quatre élevages (Miura, Saltillo, Escolar Gil et Raso de Portillo) rigoureusement sélectionnés par l’Adac à l’occasion de la trentième édition de Céret de Toros.
Cet événement en forme d’ouverture officielle de la saison tauromachique cérétane – pour lequel les aficionados des quatre coins du département et du
Grand Sud avaient volontiers fait le déplacement – a permis de découvrir les toros au « campo ». Les vidéos des élevages projetés sur grand écran confirment l’intransigeance de l’Adac depuis 1988.

Attentif et passionné, le public a longuement applaudi le cartel profondément « toristas » avant d’entamer un débat avec les matadors Fernando Robleño « dont ce sera le 20e paseo à Céret », Alberto Aguilar « qui foulera le sable cérétan pour la 8 e fois », le jeune novillero Maxime Solera « le régional de l’étape » (1), ainsi que le représentant de l’Adac en Espagne, Juan Carlos Carreño « un fin connaisseur ». Ces derniers
se sont prêtés au jeu des questions-réponses autour des valeurs du torero. Le dialogue s’est poursuivi autour d’un apéritif.
Prochain rendez-vous dans le ruedo cérétan : les 14, 15 et 16 juillet.

Mathilde Contié Walter

(1) La famille du novillero, Maxime Solera, est originaire de Port-Vendres.

Interview de Bernard Raviglione sur le site patrimoniotaurino.com

Bernard Raviglione (ADAC-CERET) “El encaste Domecq ahora mismo no nos interesa. Santa Coloma se muere… “

Hoy nos marchamos a Céret, plaza torista por excelencia. Para ello hablamos con Bernard Raviglione, presidente de ADAC, entidad de aficionados que organiza esta feria gala. Con él repasamos y conocemos más en profundidad la ideosincrasia de una feria única. Sin duda, las ideas claras y una feria de arrolladora personalidad y que este año cumple su 30 aniversario.

Nace ADAC tras el paso de Simón Casas por Céret.

Estaba en ella Simón Casas. La plaza de toros pertenece a una sociedad privada de Céret y alquilan la plaza a quién quiere alquilarla. Antes de ADAC, dos años antes, Casas había venido a dar espectáculos de novilladas. Es zona de turismo y veraneo. Eran espectáculos que a nosotros, aficionados, no nos gustaba. Pasaron 2 años sin toros, la plaza cerrada. Decidimos en 1988 montar una corrida de toros para defender la idea que tenemos de la fiesta con toros-toros y toreros que quieren matarlos, que son pocos.

¿Cómo nace ADAC?

30 personas pusimos dinero para montar la primera corrida de toros. Fuimos a buscar ayuda en Francia y España porque éramos muy nuevos. Hablamos con un francés y no nos gustó y fuimos a ver a Manolo Chopera a su despacho de Madrid y nos dijo que no podía pero que tenía un gran amigo en Salamanca, Simón Carreño, que nos podía ayudar. Fuimos a verlo y finalmente nos pusimos de acuerdo para organizar la primera corrida de Céret en 88 y va a hacer 30 años.

¿Cómo se lo toman los taurinos?

Los ganaderos nos reciben muy bien, tenemos muy buena relación con ellos. No hablamos mucho con los toreros porque tenemos nuestro representante, Juan Carlos Carreño. Hacemos reuniones, elegimos ganaderías, vamos a verlas. Dependiendo del precio y de lo que hay elegimos dos o tres corridas, igual con los toreros. Vemos los resultados de los toreros. Votamos los 30, cada uno tiene una voz, cada uno defiende su torero y nos ponemos de acuerdo y pedimos a Juan Carlos que contraten a los toreros. Finalmente montamos así los carteles, vemos los toros en el campo, es lo más importante para nosotros. Defendemos el toro porque el monoencaste es mala cosa para la cabaña brava española, nos gustan los encastes minoritarios como puedes ver en los carteles. Siempre hemos defendido al toro y pensamos que si quiere sobrevivir la tauromaquia debe haber una lucha, un combate que debe tener emoción. Si no, das argumentos a los antitaurinos. Si el toro se cría solo para servir al torero… Si ves 20 corridas con mismos toros y toreros, con las mismas faenas ante toros sin exigencias, eso no es nada. Pensamos que la fiesta sobrevivirá si hay combate entre hombre y animal.

Foto: El toro de Cenicientos

Céret es sinónimo de tercio de varas.

Es primordial, enseña el comportamiento del animal. Del toro nos gusta su casta. Intentamos que al toro lo pongan en su sitio. Buscamos darles premios a los picadores. El piquero que viene a Céret tiene un premio que le damos sin picar. Se le paga si pica bien, si no, no. Es una manera de intentar que las cosas se hagan bien. Buscamos tercios de varas interesantes, respetando al toro, que se pique en la base del morrillo… Cosas que no se ven. Nos gusta el tercio de varas, es espectacular.

A veces eso es sinónimo de pararse en la muleta.

Nosotros pensamos que el mínimo son dos puyas bien dadas. Si das un picotazo y basta, el ganadero cría toros de un picotazo. La res debe tener su fuerza. Pensamos que los mínimos son dos puyazos, dosificados. Si soporta 4, damos 4 y si solo se pueden 2, damos 2. Para ello está la presidencia.

¿A toreros artistas como Morante no los añoran?

No va a venir a matar Miura o Saltillo, ni los llamamos. Es un buen torero pero no quieren esto. Es muy bueno pero mata lo que mata, es la verdad. Las figuras matan lo que matan. He ido a Arles y he visto dos corridas que tela. Ni a la cintura llegan los toros. Y si continuamos así los antitaurinos -que son malos y no tienen argumentos- si se les dan esos argumentos se harán más fuertes.

¿Puede ser perjudicada Céret metiendo la televisión?

No sé si es buena o mala cosa. Depende de cómo la traten.  Una corrida de toros se tiene que ver de verdad. Nunca miro corridas de Céret por televisión. No me interesa en televisión porque pierdes 70% de lo que puedes sentir viendo toros. La tele no transmite nada, no es la mejor cosa, pero tiene cosas positivas para gente que no puede moverse. Yo si puedo voy a la plaza no a la tele.

En Nimes, ¿difícil verle?

Hace mucho tiempo que no voy. No sé ni lo que hacen ni lo que dan. No me interesa.

Esta idea y claridad hablando provoca insultos de quién no lo comprenden.

No hacemos para ganar dinero las corridas. El día que no podamos, pararemos y me iré a la pesca o lo que sea. Yo creo que intentamos dar a la fiesta verdad, todo lo que pierde poco a poco. Si la gente no quiere que sigamos pararemos. Tenemos un público fiel de España, Francia, Italia… Van a ver corridas y no a un tio bailar.

En España esto…

Si acaso en el Tiétar en Cenicientos. Estamos lejos del mundillo que quizás tenga más peso allá que acá. En España hay empresas que funcionan bien. La fiesta del mundillo no representa a toda España.

Llamó la atención lo que dijo Padilla sobre su feria.

He oído lo que dijo Padilla. No comprendo porque razonó de esta manera. Lo mejor sería hablar con Esplá y que diga si cuidamos o no a los toreros. Había 4000 personas en los tendidos, un torero herido en manos de los médicos que sabían lo que tenía y decidimos continuar. Fue trasladado al hospital. Tenemos una enfermería muy bien equipada y una clínica a 200 metros de la plaza y si es de más importancia se coge el helicóptero y se le traslada. Ése fue el caso de Esplá. Se bloqueó Padilla y Sánchez Vara decía que si él no quería- Padilla- él mataria todos. No comprendimos eso, no lo merecemos. Se puede decir que ha cambiado el torero de categoría. Era un torero luchador y después de su accidente ha entrado en la zona de los protegidos, no sé. Me duele porque no merecemos esto.

Tanta importancia al toro, ¿deja al torero en segundo plano?

Para defender la corrida el toro tiene que tener un sitio importante. El toro no es lo que se ve en otras plazas. Hemos dado la oportunidad de Robleño con 6 toros de Escolar, éxito fantástico. Estoy enfadado un poco. Fue un éxito y, tras ella, ha habido varias encerronas peores y no se ha hablado de la de Fernando. Salió gente llorando de la plaza de la encerrona, estuvo como un león. No se puede explicar. A los toreros los respetamos muchísimo porque sin ellos no hay nada. Les imponemos toros de gran aspecto y complicaciones y nuestra visión de la corrida no permite hacerlo de otra manera. El toro debe ser íntegro, bien presentado.

¿Han contemplado el análisis de astas?

Sí. Cada año pagamos a los veterinarios franceses para que analicen los pitones. Cada año vienen a Céret. Dos veterinarios se cuidan de los pitones y por la mañana eligen los toros que van a analizar. No se habla de arreglado, analizan los veterinarios lo que quieren. Y publicamos los resultados en nuestra página.

Garcigrande, Cuvillo, ¿posibles?

No, el comportamiento es importante. El encaste Domecq ahora mismo no nos interesa. Santa Coloma se muere… ¿Cuántas ganaderías se mueren por no tener lo que quieren los toreros? Si vas a un espectáculo previsible me quedo en casa. Poco a poco es lo que está ocurriendo. La corrida debe tener sus imprevistos. Si sabes lo que va a pasar te pones una cinta y vale. Muchos Domecq salen iguales, toreros con la misma faena, eso no es corrida.

¿El torismo es para abaratar las ferias?

Yo creo que no. La gente va a ver las figuras y cogen todo el dinero que pueden ganar en una feria. Las cosas no son justas, ¿cuánto gana uno y otro (el resto de toreros)? El que más riesgo corre no es el que más gana. La corrida del Puerto en Madrid, !qué cosa más preciosa! Eso no lo puedes ver con otros toros y toreros. Se podía repartir el dinero de manera más honrada entre los toreros de la feria.

Y todos cobrando.

Todo el mundo cobra el mínimo en plaza de categoría superior a la nuestra. Todos matadores, novilleros y ganaderos cobran. La Seguridad Social al día. Nos cuesta mucho pero nadie puede decir que no ha cobrado. Es un honor que cobren. Les pedimos mucho, toros complicados, yo no dormiría si no cobraran.

¿Cómo eligen los toros?, ¿tipo o los más grandes?

Los más en tipo. En 1988 pensábamos en el toro grande con pitones. No puedes pedir a Santa Coloma el tamaño de Miura y pitones de Conde de la Corte. Elegimos el tipo cuando podemos elegir. Es complicado. Tener una corrida en tipo de 6 en ganaderías que no venden es complicado. Tenemos una feria extraordinaria. Los Albaserradas de Escolar, Saltillo, Miura en tipo, novilladas…

Miura en Céret

Por los 30 años hemos decidido dar en vez de 2 corridas y 1 novillada, 3 y 1. El 14 de Julio es viernes y nos permite tener 3 y hacemos un sacrificio haciendo un regalo a la gente que nos sigue y a los amigos de la zona.

Una plaza con catalanidad muy diferente a Barcelona.

Somos catalanes y reivindicamos esto. Hablamos catalán, tradiciones catalanas pero nos gustan los toros. Los de Barcelona por la política se acabaron. La fiesta de Franco, ¿qué es esto? Lo querían hacer ver como un símbolo del poder central de Madrid. Es una historia política, nosotros no. El toreo es un placer, una pasión y sin política. Hay gente joven, vieja, derechas e izquierdas. De todos lados y nunca tenemos problemas con eso. Lo que nos une son los toros.

 

POR JAIME · 2 MAYO, 2017

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